La fête des amoureux… de Jésus

 

14 février, fête des amoureux…

Instituée en France par le célèbre poète (le Duc) Charles d’Orléans (1394-1465), la Saint Valentin rend hommage aux amoureux, en souvenir de la mère du poète Valentine Visconti, qui animait des salons avec les artistes de l’époque, où l’amour était au centre des discussions.

                                                             …de Jésus !

 

« À tout seigneur tout honneur »… un proverbe de circonstance ! C’est à l’auteur de l’amour, à Celui « qui nous a aimé le premier » (1J 4.19) qu’il est juste de rendre hommage, gloire et honneur, en rappelant et célébrant ce qui ne doit jamais devenir banal pour nous, Son Amour :

 

–  « Dieu nous a prédestinés dans son amour à être ses enfants d’adoption par Jésus-Christ, selon le bon plaisir de sa volonté, pour célébrer la gloire de sa grâce dont il nous a favorisés dans le Bien-aimé« . Eph 1.5-6

 

–  Car Il  l’avait déjà promis à Israël: « Je te fiancerai à moi pour toujours, je te fiancerai à moi par la justice et le droit, l’amour et la tendresse. Je te fiancerai à moi par la fidélité et tu connaîtras le Seigneur ». Os 2.19-20

 

 Fiancés en attendant l’union avec le Bien-aimé: « Je vous ai fiancés à un époux unique, pour vous présenter au Christ, comme une vierge pure » 2Co 11.2

« Réjouissons-nous, soyons dans l’allégresse et rendons-lui gloire, car voici les noces de l’agneau. Son épouse s’est préparée… » Ap19.7

Car, « Christ a aimé l’Église, et s’est livré lui-même pour elle… afin de faire paraître devant lui cette Église glorieuse, sans tache, ni ride, ni rien de semblable, mais sainte et irrépréhensible ».  Eph 5.25 et 27

 

Question. Pouvons-nous dire comme la Sulamite: « Je suis à mon bien-aimé, et mon bien-aimé est à moi … », étant certains que  » ses désirs se portent vers moi  » Ct 6.3; 7.10 ?

Si oui, alors nous savons que: « Son palais n’est que douceur, et toute sa personne est pleine de charme. Tel est mon bien-aimé… » Ct 5.16

 

 

Ressaisissons notre héritage dans la poésie et les arts, pour exprimer et magnifier l’amour, avec les couleurs de la langue et de la culture française : une richesse à reconquérir et à offrir… aux nations.

Bénissons Dieu pour la grâce « incroyable » de Son amour, qui se donne à nous au prix -inconcevable par notre raison- de Son humiliation en Jésus-Christ : Dieu fait homme.

Célébrons-le, de toutes les manières, et peut-être par des formes nouvelles où la poésie et l’art ont toute leur place, pourvu que la reconnaissance et la joie soient notre partage.

Retrouvons, demandons le zèle, pour faire connaître cet immense amour à une société égarée dans le divertissement, où beaucoup aspirent à combler le vide de leur vie.