URGENCE repositionnement

 

Non, ce n’est pas contre des êtres humains que nous devons lutter,

« mais contre les puissances occultes, contre une organisation spirituelle satanique, contre les dictateurs invisibles qui, dans les ténèbres, veulent contrôler et régir notre monde, contre la légion des esprits démoniaques dans les sphères surnaturelles, véritables agents du quartier général du mal ».

Eph 6.12 (vs PVV)

L’Armée de Dieu des derniers temps

 

C’est un peuple pacifique et passionné qui est complètement conscient que Dieu seul même le combat et conduit à la victoire. Car la chair, même « christianisée », souvent très sympathique (touchante) dans ses manifestations, ne mène à rien de bon si ce n’est à la vaine glorification de l’homme.

La fin des temps. Sans entrer dans des calculs eschatologiques, sa réalité c’est « des temps difficiles.  Car les hommes seront égoïstes, amis de l’argent, fanfarons, hautains, blasphémateurs, rebelles à leurs parents, ingrats, irréligieux,  insensibles, déloyaux, calomniateurs, intempérants, cruels, ennemis des gens de bien, traîtres, emportés, enflés d’orgueil, aimant le plaisir plus que Dieu,  ayant l’apparence de la piété, mais reniant ce qui en fait la force. » 2 Ti 3.1-5 Cela ressemble à notre époque.

 

C’est pourquoi beaucoup constatent que l’enthousiasme (cf. étymologie : l’excitation que procure la présence de Dieu en nous) s’est réduit comme peau de chagrin dans l’Église. C’est le monde qui semble nous influencer et non l’inverse comme le voudrait notre appel, en Jésus-Christ, qui nous encourage encore : « Sortez de Babylone Mon peuple ! ».

 

Dieu agit avec un reste. Ne faisons pas comme Gédéon qui leva 32.000 hommes pour vaincre l’ennemi. Dieu ne lui en laissa que 300, qu’Il choisit. Il y a en France aujourd’hui des « 7000 » qui, comme du temps d’Elie, « n’ont pas fléchi le genou devant Baal » (1R 19.18).

Serons-nous de ceux-là ?

 

Si notre chemin est réellement Christ, Il tracera en nous des chemins : la reconnaissance et la bienveillance sont ceux dont notre pays (l’Église !…) a désespérément besoin pour rouvrir les yeux sur Celui qu’Il a mis à la porte en grande pompe le 10 novembre 1793.

 

Combien de chrétiens ont souci de cela aujourd’hui ?

 

Prions que le Saint-Esprit nous rafraichisse dans l’intercession :   

– comme Abraham plaidant pour Sodome et Gomorrhe (que nous condamnerions peut-être très vite !), réclamons notre pays et nos villes pour les « dix justes » qui y habitent.

– comme l’apôtre Paul, recherchons, cultivons et distribuons la Foi, l’Espérance… et l’Amour… sans lequel nous ne sommes que des « cymbales retentissantes » (1 Co 13).