52/39 – Tolérer ou… aimer ?

 

Sous l’influence considérable des idéologies post-révolutionnaires, la France s’est spirituellement endormie. Le relativisme, notamment, a conduit à la tolérance, grande valeur maçonnique distillée dans la société depuis la révolution française.

 

La tolérance, versant occulte de l’amour, fruit abject de la franc-maçonnerie. Elle est aujourd’hui vénérée comme un dieu. Les francs-maçons s’y sont engagés après la Révolution, en particulier pour éviter les querelles entre les catholiques et les protestants. Ils se sont mis à penser : « nous sommes meilleurs, nous sommes plus fort, nous sommes au-dessus de tous ces gens, nous acceptons les catholiques et les protestants, nous sommes TOLÉRANTS ». C’est le piège le plus parfait par rapport à l’amour.

 

Tolérer, ce n’est pas aimer. Tolérer c’est mépriser l’autre : je t’accepte parce que je suis plus grand que toi, je peux te contenir (rien à voir avec l’Amour, long, large, profond de Jésus qui s’abaisse et vient vers nous).

 

Le fruit en est un sentiment de supériorité : « je suis quelqu’un de vraiment bien, parce que moi je tolère les autres ».

 

Qu’on se le dise et rappelle avec force: il nous appartient d’aimer, PAS de tolérer!

 

 

Repentons-nous de toute allégeance à « la tolérance » que nous pouvons finir par trouver acceptable (?)…bonne (?) voire…chrétienne!

    Notons que des personnes ‘’tolérantes’’ peuvent être très ‘’sympathiques’’ (plus que des chrétiens non actifs dans leur foi), mais ‘’sympa’’ n’est pas un critère retenu par la Parole de Dieu. Et beaucoup de gens ‘’sympa’’ ne veulent surtout pas de Dieu !

 

Dégageons-nous des pressions du monde (et de certaines’’ évolutions’’ ecclésiales) qui nous obligent, par les lois, à « la tolérance ». Or, souvent, celle-ci exige que le mal soit appelé bien.